Derrièreun grand homme se cache toujours une grande dame. 09 juin 2013, 08h53. Un soir, le Président Obama et sa femme Michelle décident de casser la routine et de dîner dans un restaurant ordinaire, pas luxueux. Une fois assis, le propriétaire du restaurant demande aux services secrets du Président l’autorisation de parler à la Ladage "Derrière chaque grand homme se cache une femme", du poète et Académicien français Gabriel-Marie Legouvé, est à ce point dans l'usage depuis plus de deux siècles que l'on en a oublié son auteur!Il est évident que ce mot soit devenu une règle. Mais qui se cache alors derrière cette femme remarquable, pour qu'elle tienne elle-aussi une place notable? Derrièrechaque grande femme se cache un chat de Lulu Mayo - Éditeur Bonneton (Christine) - Livraison gratuite à 0,01€ dès 35€ d'achat - Librairie Decitre votre prochain livre est là Apparemment, javascript est désactivé sur votre navigateur. Zaynaban-Nafzawiyyah, née à Aghmat en 1039 au Maroc dans le haut Atlas, était une reine berbère qui eut une grande influence sur la dynastie Almoravide, elle fut reine de Marrakech et a pris contrôle du Maghreb, et une partie de l'Espagne. Zaynab était autant admirée pour sa beauté que pour son intelligence et sa capacité à s'élever Derrièrechaque grand homme se cache une femme, dit-on souvent. Une grande femme devrait-on dire en ce qui concerne le commandant Cousteau.Simone Cousteau, née Simone Melchior, est souvent qIYM4. Et si on pouvait choisir, selon nos envies et besoins du moment, de ne travailler qu’à 70%, ou même 30% du temps ? Un format “à la carte” qui nous paraît bien inaccessible à nous Français… Pourtant en Suisse, travailler à temps-partiel fait partie des mœurs. Plus d’un tiers de la population travaille moins de 90%, ce qui place notre voisin helvète en deuxième place européenne en la matière. Une tendance de fond, que seules les économies prospères peuvent se permettre, mais qui cache aussi une forte inégalité entre hommes et femmes. Décryptage. Depuis que je ne suis employée qu’à 60%, ma vie est devenue bien plus passionnante » s’enthousiasme Diana, journaliste. Il y a un an, cette écossaise expatriée en Suisse négociait avec son nouvel employeur de ne travailler que trois jours par semaine. Une négociation plutôt facile dans le pays roi du temps partiel. Car en Suisse, plus d’un tiers de la population 38% a adopté ce mode de vie, et travaille ainsi moins de 90%. Je souhaitais plus de flexibilité, pour à la fois développer mon activité de freelance, et pouvoir être plus souvent à la maison pour profiter de mes deux enfants. Et le fait de rester employée me permettait tout de même de garder une certaine sécurité », résume Diana. En cumulé, Diana travaille bien à 100% mais savoure chaque jour le fait d’avoir diversifié ses activités. Et son entreprise ne peut s’en plaindre. Avoir deux jours en dehors du boulot me permet de nourrir ma créativité, de rencontrer des gens différents, de me ressourcer. Je suis clairement meilleure dans ce que je fais ! Les RH sont d’ailleurs bien au courant et très arrangeants, on voit que c’est ancré dans leur manière de faire. » A Zürich, dans la fondation dans laquelle travaille Alexandre, 30 ans, le temps-partiel est même généralisé. Aucun employé n’est embauché à plus de 90%. Le jeune homme choisit lui de travailler à 100% toute la semaine, et de récupérer l’équivalent de deux jours de congé chaque mois. Durant ses études en Sciences Politiques, Alexandre profitait déjà de la flexibilité helvétique. Un jour par semaine, entre deux cours de sciences sociales, le suisse d’origine grecque rejoignait alors les rangs de la grande banque Crédit Suisse. C’était un programme spécial pour les étudiants, qui nous permettait de gagner de quoi vivre tout en travaillant sur des projets passionnants. Une façon pour la banque d’attirer les talents sortis de l’université », luxe que peu de pays peuvent s’offrirÀ entendre Diana et Alexandre, le temps partiel a donc de quoi convaincre, aussi bien les employés que les employeurs. Les chiffres parlent d’eux même depuis 20 ans, le taux de personnes travaillant moins de 90% ne cesse d’ailleurs d’augmenter dans la confédération alors pourquoi, dans le reste de l’Union Européenne, moins de 20% des gens sont concernés, un chiffre qui n’augmente plus depuis plusieurs années ? Irenka Krone-Germann, docteure en Économie de l’université de Genève et auteure du livre Temps partiel en Suisse, Pertinence, impact et défis avance d’abord l’argument économique. Le temps partiel peut sembler un luxe, car il est directement lié au pouvoir d’achat. En Suisse, les salaires sont plus élevés que dans la plupart des autres pays européens. De nombreux ménages peuvent se permettre de travailler moins sans pour autant diminuer fortement leur qualité de vie. Ils n’ont alors pas besoin de deux salaires à 100% pour vivre. » Ce à quoi l’économiste ajoute l’aspect législatif. La Suisse est l’un des régimes les plus libéraux au monde. Les entreprises sont contraintes par peu de procédures, ou sont peu tributaires de différends entre syndicats et patronats. » En Suisse, les entreprises peuvent donc s’organiser plus ou moins comme elles veulent, et octroyer du temps partiel selon leurs besoins et ceux de leurs employés. Une liberté dont elles bénéficient par rapport aux pays où le droit du travail - comme en France - est plus réglementé par Suisse, rester après l’heure de départ officiel généralement vers 17h ou 18h, selon l’heure d’arrivée, est même souvent vu comme la conséquence d’un manque d’ le temps partiel de manière généralisée en entreprise demande par ailleurs une certaine rigueur. Pas question pour les employés d’être payés 60% et de travailler 80% du temps. Exit, donc, le présentéisme. Pas besoin, pour plaire à son patron, de rester le plus tard possible. En Suisse, rester après l’heure de départ officiel généralement vers 17h ou 18h, selon l’heure d’arrivée, est même souvent vu comme la conséquence d’un manque d’efficacité. Les employés sont aussi très souvent incités à compter leurs heures travaillées. En 2019, les trois-quarts des salariés enregistraient leurs heures de travail 74%, contre seulement trois salariés sur cinq dans l’Union européenne 58%.Une organisation du travail encore très conservatriceMais derrière cette grande liberté se cache aussi une grande inégalité. Aujourd’hui en Suisse, le temps partiel reste une caractéristique très féminine. La différence entre le taux d’emploi à temps partiel masculin et le taux féminin est la plus grande au monde. Elles sont 60% à travailler en Suisse à temps partiel, contre 18% des hommes » commente Irenka Krone-Germann. La Suisse reste un pays très conservateur. Le modèle bourgeois, où l’homme travaille et la femme s’occupe de la maison et des enfants s’est simplement transformé en modèle “hommes à temps plein et femmes à temps partiel” » analyse l’experte en la matière. Ici, travailler à 100% veut souvent dire qu’on est une “mauvaise mère”, pas assez disponible pour ses enfants. Alors qu’au Royaume-Uni ou en France, être mère au foyer est loin d’être valorisé ! »Diana, qui a travaillé plusieurs années à Londres et à Paris avant de rejoindre Zurich confirme Ce qui est bizarre en Suisse, c’est que j’étais plus stigmatisée en travaillant à 100% qu’à 60%. Ici, travailler à 100% veut souvent dire qu’on est une “mauvaise mère”, pas assez disponible pour ses enfants. Alors qu’au Royaume-Uni ou en France, être mère au foyer est loin d’être valorisé ! » En arrivant à Zurich en 2018 après avoir travaillé à New York et Singapour, Charlotte, architecte de profession, a fait le même constat Négocier un 80% n’a pas été compliqué du tout… Dans mon cabinet d’ailleurs, les femmes travaillent toutes à temps partiel. Et je sais que beaucoup pensent même qu’en tant que mère d’un petit de deux ans, je travaille trop. »Là encore, le libéralisme helvétique explique en grande partie cette organisation. Dans notre pays, les individus sont libres mais surtout responsabilisés. Contrairement à d’autres pays comme la France, où il existe un très grand nombre de subventions pour les familles nombreuses notamment, en Suisse, si on veut des enfants, on doit assumer financièrement une grande partie des charges » note I’économiste Irenka Krone-Germann. Les crèches hors de prix, l’école qui ne commence qu’à quatre ans révolus, la quasi inexistence de cantines pour les enfants, ou encore le système fiscal décourageant… Chez les Helvètes, tout pousse les parents à s’occuper eux-mêmes de leurs enfants. Et bien sûr, les femmes jouent ici le premier rôle. Parmi les personnes qui travaillent à temps partiel en effet, les hommes occupent les postes avec le plus gros pourcentage d’occupation, tandis que les femmes tendent à travailler beaucoup moins. En 2019 en Suisse, la part des femmes au volume total des heures effectives de travail n’était que de 39%.Un impact négatif sur la carrière et la retraite des femmesEn travaillant moins que les hommes, les femmes se mettent pourtant en danger. Malgré la conciliation entre travail et famille, les postes à temps partiel ne permettent que rarement d’accéder à des postes à responsabilité, de changer facilement d’emploi …. Le risque existe surtout pour les personnes très qualifiées, qui restent confinées dans des postes sans perspective » peut-on lire sur le site de Go for Job-Sharing, créé par Mme Krone-Germann et son équipe. Clémence, diplômée d’HEC Paris et qui a fait toute sa carrière en marketing dans de grandes entreprises internationales confirme Les postes à 40% ou 60% sont surtout pour des rôles d’assistant. Les managers travaillent - sauf quelques rares exceptions - entre 80 et 100% du temps ». La française, installée en Suisse depuis trois ans, n’a toujours que travaillé à temps plein. Mais les startup sont tout de même plus ouvertes sur le sujet » ajoute celle qui est aujourd’hui CMO de Sharely, une startup locale. Et sur ce point du plafond de verre, même Alexandre confirme en acceptant de travailler à 90%, j’ai d’abord eu peur d’être stigmatisé. J’avais jusque là toujours l’impression qu’en ne travaillant pas à 100% on risquait de manquer quelque chose. Travailler à temps plein est encore perçu comme une condition pour faire les plus belles carrières, même si cela a beaucoup évolué ces dernières années. » Il est tout à fait honorable de se consacrer à l’éducation de ses enfants, mais il faut au minimum être consciente des impacts de ce choix. Quarante pour cent des mariages finissent par un divorce… Les femmes doivent se demander si elles sont prêtes à assumer une éventuelle situation de précarité. Je suis d’avis qu’elles décrochent le moins possible de la vie professionnelle »Maribel Rodriguez, bureau vaudois de l’égalité entre les femmes et les hommesA cela s’ajoute un argument financier, essentiel. Pour cotiser à sa retraite - appelé deuxième pilier » en Suisse, un employé doit recevoir d’un seul et même employeur 21 510 francs suisses par an. En travaillant un faible pourcentage, ou en cumulant plusieurs jobs, les femmes risquent donc de se retrouver sans retraite. C’est le piège du temps partiel », ainsi que l’appellent certains syndicats et mouvements féministes. Parmi eux, Maribel Rodriguez, qui dirige le Bureau vaudois de l’égalité entre les femmes et les hommes, incite les femmes à éviter ces temps-partiels qui risquent de les mettre en danger. Il est tout à fait honorable de se consacrer à l’éducation de ses enfants, mais il faut au minimum être consciente des impacts de ce choix. Quarante pour cent des mariages finissent par un divorce… Les femmes doivent se demander si elles sont prêtes à assumer une éventuelle situation de précarité. Je suis d’avis qu’elles décrochent le moins possible de la vie professionnelle », expliquait-elle au journal 24heures en 2019. Mais la Suisse reste une société très traditionnelle. Et malgré tous ces risques, le temps-partiel est très souvent souhaité et vu comme une chance pour les femmes qui peuvent profiter de leurs jeunes Irenka Krone-Germann, une alternative au temps-partiel se développe cependant déjà en Suisse pour contrer cet écueil celle du “job et top sharing”, soit lorsque deux ou plusieurs personnes partagent un poste à plein temps avec des tâches interdépendantes et une responsabilité commune. C’est la solution pour accéder à des postes à responsabilité intéressants, avec de bons salaires, tout en préservant un temps partiel qui permet de faire d’autres activités, comme profiter de la famille, faire du sport, pratiquer un hobby ou un autre travail en parallèle » avance l’économiste. A Zürich, deux femmes se partagent ainsi depuis 2017 avec succès la direction de la clinique gynécologique de Triemli, l’une des plus renommée de la capitale économique de Suisse. Chacune est officiellement employée à 90%, car un tel poste demande une charge de travail extrêmement élevée. Et si c’était ça, la clef pour allier flexibilité, hauts salaires et carrière ? Suivez Welcome to the Jungle sur Facebook, LinkedIn et Instagram ou abonnez-vous à notre newsletter pour recevoir, chaque jour, nos derniers articles !Article édité par Clémence Lesacq ; Photos Thomas Decamps pour WTTJJournaliste indépendante basée en Suisse Publié le 1 nov. 2018 à 830Alors que l'Afrique connaît une croissance moyenne de 4 % par an, un des facteurs de blocage de cette marche en avant devient de plus en plus évident. Dans des économies en plein développement, la contribution de tous est si les femmes, soit plus de la moitié de la population du continent, ne sont pas conviées à occuper la place qui leur revient, c'est toute la mécanique continentale qui s'en retrouve grippée. Les droits des hommes et des femmes ne sont pas adverses, ils se complètent et se d'opportunitésL'Afrique dans son ensemble connaît une transformation durable, mais les faiblesses dues aux inégalités entre les sexes perdurent. Certes, de nouveaux domaines s'édifient rapidement l'économie numérique, les industries de transformation, les technologies vertes, l'apparition de classes moyennes et d'une consommation de masse, sont autant de moteurs de Côte d'Ivoire, le Kenya, le Nigeria, le Ghana, l'Afrique du Sud, sont parmi les pays les plus courtisés des investisseurs extérieurs. L'Afrique devient terre d'opportunités dans les secteurs financiers, de la grande distribution, et de l'énergie. Le Kenya, l'Afrique du Sud, le Rwanda, le Maroc, le Nigeria et le Sénégal sont reconnus internationalement comme étant des champions de l'innovation en invisiblesMais dans de nombreux pays, la corruption, le népotisme, l'évasion fiscale, un entre-soi patriarcal, privent de forces vives les plus ambitieux projets. En effet, s'il est un terme pour résumer au mieux le rôle spécifique des femmes dans la plupart des sociétés humaines, bien avant ceux de maternité, participation aux tâches domestiques, travail, combat pour le changement social, lutte pour l'équité, conscience aiguë des injustices faites aux minorités, bien avant tous ceux-là, ce serait le terme invisibilité ».Invisibles, déjà, quand les femmes sont considérées comme une minorité, alors qu'elles représentent 52 % de l'humanité. Invisibles, quand l'adage selon lequel derrière tout grand homme se cache une femme », prétend rendre justice à celle-ci, tout en normalisant sa position de retrait. Et si cela est vrai, qu'en est-il de la réciproque ? Qui se cache derrière cette femme qui rend les autres grands, une ou d'autres femmes peut-être ?Ce faux sophisme doit nous faire réfléchir à deux fois. À la solitude altière du grand homme en compétition avec ses pairs, les femmes s'élèvent par la solidarité, l'entraide, et la conscience que face à une pression sociale patriarcale, la seule résistance possible ne peut être que collective. Mais au-delà de tout cela, ce qui reste invisible n'est pas d'ordre social, mais mental. Est-il possible de reconnaître aux femmes leur juste place, sans avoir à les parer de vertus viriles », ou d'inverser l'échelle des valeurs en les enfermant ainsi dans ces attributs limitatifs ?Nouveau contrat socialLes hommes ne courent pourtant aucun danger à reconnaître la place que tiennent les femmes dans leurs vies. Par bonheur, nombre d'entre eux le font naturellement, y trouvant une libération, loin des rôles dont ils se sont eux-mêmes toujours trouvés dépositaires sans les avoir le plus souvent autant, la réécriture des rôles genrés paraît toujours dangereuse aux privilégiés de l'ordre courant. Dans les sociétés du continent africain, où se mêlent influences modernistes et traditionnelles, voire réactionnaires, c'est justement la force des femmes au sein des familles et dans la sphère publique, qui est le prétexte à tant d'humiliations symboliques et physiques, de lois coutumières obsolètes, de plafonds de verre, et dans certains cas de crimes d' concurrence des sexes n'est pourtant pas une fatalité, et partout en Afrique, des femmes s'organisent pour faire entendre leurs voix. Alors que le continent connaît une croissance accélérée, et que pour faire face à la mondialisation, l'Afrique a besoin de ses meilleurs talents, se priver de plus de la moitié de sa population sous prétexte de suivre aveuglément une tradition, est les femmes visibles, dans les postes de direction et à tous les niveaux de la société, promouvoir l'entrepreneuriat féminin qui est une force motrice du continent, ce n'est pas bouleverser l'ordre social, c'est tout simplement faire apparaître au grand jour une contribution essentielle et qui a existé de tout temps. Derrière toute grande société humaine, transparaît l'égalité de traitement entre femmes et hommes » ni suprématie ni soumission, l'équité et l'égalité entre les sexes relève du pragmatisme le plus rationnel pour faire face à une mondialisation dans laquelle tous les talents sont de Thuin est la fondatrice de WIA Initiative. Ils sont milliardaires ou millionnaires. Voici qui se cache derrière les plus grosses fortunes du Grand Est au sein du classement Challenges des 500 plus grosses fortunes du pays. Par Nicolas Zaugra Publié le 28 Juil 21 à 1803 Les fortunes du Grand Est sont surtout des millionnaires, selon le classement de Challenges. ©Illustration/ AdobeLe top 20 comprend des noms connus de bien des Français Bernard Arnaud, roi du luxe qui possède LVMH, François Pinault son éternel rival, la famille Mulliez avec ses Auchan et Decathlon ou encore Xavier Niel fondateur de l’opérateur année, le magazine Challenges publie le classement des 500 fortunes professionnelles de milliardaires et des millionnairesMilliardaires ou millionnaires, qui sont les plus grosses fortunes de la région Grand Est ? Quelles sont leurs activités ? Souvent méconnues et très discrètes, tour d’horizon de ces personnes qui enregistrent les plus grosses fortunes de notre région. 43e – Pierre-Etienne Bindschedler, AlsaceSa fortune est évaluée à au moins 3 milliards d’euros. En 2021, il gagne même quelques places dans le top 500 et se positionne à la 43e place nationale. Pierre-Etienne Bindschedler est le PDG de Soprema. Ce groupe dont la maison-mère se situe à Strasbourg s’est spécialisé dans l’étanchéité, l’isolation thermique et la couverture. Soprema est fondée en 1908 par Charles Geisen, le grand-père de Pierre-Etienne a fait parler de lui en 2017 en dépensant plus de 400 000 euros en achetant le squelette d’un véritable mammouth, la mascotte de l’entreprise. Pierre-Etienne Bindschedler est l’homme le plus riche du Grand Est. Capture Youtube/DR55e – Famille de Wendel, LorraineOn ne présente plus cette famille qui a marqué l’histoire industrielle, politique et économique de la Lorraine. La fortune de cet empire familial est évaluée par Challenges à au moins 2 milliards d’euros. Vidéos en ce moment sur ActuEn 1704, Jean-Martin Wendel achète les forges de Hayange en Moselle. Jusqu’à la fin du XIXème siècle, le groupe se développe en profitant des grandes inventions issues de la révolution industrielle. La fortune et le pouvoir de cette famille se développent lors du boom industriel. Mais les crises successives de l’industrie et les deux grands conflits mondiaux fragilisent l’activité. Dans les années 70, la famille diversifie son activité et prend des participations dans des entreprises. Les de Wendel font notamment fortune avec Saint-Gobain, Capgemini, BioMérieux, Valeo ou encore le lunetier et opticien bien connu Afflelou. 71e – Famille Michelin, Champagne-ArdenneCette famille française n’a pas seulement marqué une région mais tout un pays. On ne présente plus non plus la famille Michelin dont la fortune est estimée à 1,7 milliard d’euros. La famille Michelin est originaire de Troyes dans l’Aube mais, la société de pneus Michelin est fondée à Clermont-Ferrand. Aujourd’hui, l’entreprise familiale est devenue une multinationale implantée industriellement dans 17 pays et emploie plus de 100 000 personnes. C’est en 2012 qu’elle est, pour la première fois de son histoire, dirigée par une personne extérieure à la – Charles Ruggieri et sa famille, LorraineCharles Ruggieri est tout simplement l’homme le plus riche de Lorraine avec une fortune estimée à 1,2 milliard d’euros. Ce fils d’immigré italien débute sa carrière professionnelle dans l’industrie sidérurgique lorraine. Discret et peu connu du grand public, il a fait fortune dans l’immobilier en créant le bailleur social Batigère et la Foncière des régions spécialisé dans l’immobilier haut de gamme. En partant de rien, il a réussi à constituer un actif évalué à 10 milliards d’euros. Il s’est aussi diversifié dans la santé avec Korian ils s’est depuis retiré et a continué a constituer sa fortune en investissant dans le marché des bureaux en se séparant de la Foncière des régions.Aujourd’hui, il prépare sa succession avec ses trois enfants, note – Philippe JournoSon nom ne vous dit rien mais vous avez sans doute déjà dépensé votre argent dans l’un de ses centres commerciaux. Il n’est pas originaire de la région mais son investissement à Metz n’est pas passé inaperçu. Son entreprise, la Compagnie de Phalsbourg, a construit le gigantesque centre commercial Waves » dans la zone commerciale d’Augny le long de l’ fortune est évaluée à 1,1 milliard d’ – Denis Oussadon et Jacques Benarroch, AlsaceIls sont dans le top des plus fortunés d’Alsace avec un portefeuille professionnel estimé à 725 millions d’euros. Les Strasbourgeois Denis Oussadon et Jacques Benarroch ont fait fortune en rachetant une centaine de locaux commerciaux dans la capitale alsacienne. Ils ont aussi des mines en Afrique et ont diversifié leurs activités dans l’hôtellerie avec un hôtel Mercure. 157e – Ivan Steyert et sa famille, AlsaceAvec une fortune de 650 millions d’euros, ces Alsaciens sont aux commandes d’une grosse partie du capital de Socomec industrie qui fabrique des équipements électriques basse tension. Avec un chiffre d’affaires de plus de 570 millions d’euros, le groupe est qualifié de solide. 167e – Catherine Barthélemy et sa famille, LorraineLorsque Catherine Barthélémy rachète l’affaire familiale dans les années 1980, l’entreprise s’appelle encore la Sermat. Depuis, elle dirige Manuloc location de matériel de manutention devenue l’une des cheffes d’entreprises les plus puissantes de Metz et de une fortune de 600 millions d’euros, elle est considérée comme l’une des femmes les plus riches de France. Catherine Barthélemy, l’une des femmes les plus riches de France. ©Capture Youtube BPI France167e – Stéphane Eimer, AlsaceSa fortune est estimée à 600 millions d’euros. Cet Alsacien a lancé en 1998 Biogroup, un laboratoire d’analyses médical qui la crise du Covid-19, l’activité de l’entreprise tourne à plein régime. 189e – Familles Faure et Machet, LorraineCes deux familles, dont la fortune est estimée à 550 millions d’euros, se partagent le contrôle du groupe de logistique FM Logistic. Le groupe familial a été créé en 1967 en Moselle. Le siège social est aujourd’hui implanté à Phalsbourg. Depuis, l’entreprise s’est développée à l’international en étant présente dans 14 pays où 27 000 employés travaillent pour l’entreprise lorraine. 197e – Jean-Jacques Frey, Champagne-ArdenneL’homme aux 525 millions d’euros, originaire de Reims, a fait fortune dans les magasins d’électroménager et s’est constitué un solide patrimoine a aussi fait fortune dans les vins et champagnes avec des vignes en Bourgogne, à Bordeaux et en Champagne. 201e – François Lazard et sa famille, AlsaceL’entreprise est surtout connue des professionnels en recherche de bureaux. Ce Strasbourgeois est à la tête d’une fortune de 500 millions d’euros grâce à de juteux investissements Group Real Estate construit plus de 100 000 m2 de bureaux par an dans toute la – Anne Leitzgen et sa famille, AlsaceLeurs cuisines sont bien connues et vous en avez peut être une chez vous. Cette famille d’Alsaciens a amassé une fortune de 400 millions d’euros grâce aux cuisines Schmidt. Le groupe possède 790 magasins dans le monde et la pandémie de Covid-19 a permis à l’entreprise d’améliorer ses résultats. Anne Leitzgen, présidente de Schmidt Groupe. ©Youtube/ DR327e – Patrick Ballu, Champagne-ArdenneAvec 325 millions d’euros de fortune, ce Champenois détient la majorité du spécialiste de pulvérisation agricole et industrielle Exel cours a doublé en Bourse pour le plus grand bonheur de l’ – Gilles de Larouzière et famille Henriot, Champagne-ArdenneChampagnes et vins… grâce à un vaste domaine, cette famille de Champagne-Ardenne peut se targuer d’une fortune estimée à 310 millions d’euros, selon les estimations de Challenges. 343e – Gaëtan Grieco et sa famille, LorraineVous avez sans doute déjà mis un pied dans un magasin de cette enseigne. Ce Lorrain à la tête de Chaussea a racheté La Halle au tribunal de commerce. Le distributeur pèse 500 magasins et 3 100 fortune est estimée à 300 millions d’ – Dominique Mauffrey et sa famille, LorraineLa famille possède 90% de l’entreprise de transports Mauffrey. Le groupe vosgien pèse 500 millions d’euros de chiffre d’affaires et s’est développé en rachetant des concurrents. Sa fortune s’élève à 300 millions d’ – Jean-François Vranken, Champagne-ArdenneUne autre fortune liée à la richesse du champagne français. Cet homme qui s’est installé à Reims contrôle le numéro 2 du champagne en France derrière le géant LVMH en possédant 71% du groupe qui commercialise Vranken, Pommery et Demoiselle. Sa fortune est estimée à 280 millions d’ – Stéphane Bailly et sa famille, LorraineL’entreprise s’est taillée une solide réputation dans le secteur de l’automobile. Avec une fortune de 250 millions d’euros, ce Lorrain est à la tête du groupe Car Avenue. Le groupe possède de nombreuses concessions en France, Belgique et Luxembourg avec notamment les marques Peugeot, Porsche ou encore Citroën et Mercedes. 397e – Bernard Rossmann et sa famille, AlsaceSa fortune est estimée à 250 millions d’euros. Le groupe alsacien est né à Strasbourg et se spécialise dans les emballages. Il est aujourd’hui présent dans plusieurs pays européens. Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Lorraine Actu dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites. Scrrrr!! Genius is down for a quick minute! Refreshing the page might help. Origin DNS error You've requested a page on a website that is on the Cloudflare network. Cloudflare is currently unable to resolve your requested domain Ray ID 73f7ee6b225f9c0c Timestamp 2022-08-24 002202 UTC Your IP address Requested URL Error reference number 1016 Server ID FL_472F430 User-Agent Le rap game nous fait perdre la tête restons lucide / C’est vrai derrière chaque grand homme se cache une femme » rappait récemment Alonzo dans un featuring avec Amel Bent. Mais si ce proverbe – à moitié appréciable, comme dirait l’autre – est autant paraphrasé par les rappeurs Médine, Kery James, Despo Rutti… c’est que la place des femmes dans un genre décrié à souhait pour son sexisme ne se limite pas aux refrains R’n’B. Outre les artistes, le rap français n’existerait pas sans ces femmes cachées », attachées de presse, manageuses, directrices de label. Capacités d’organisation parfois hors du commun, entretien sans relâche des sociabilités nécessaires avec les autres acteurs de l’industrie, soutien émotionnel, voilà autant de compétences avec lesquelles certains hommes ne se prennent pas trop la tête, mais qui font très concrètement naître et durer les artistes, les albums, les belles interviews… Par ailleurs, elles n’ont rien à envier à leurs confrères puisqu’elles témoignent souvent d’une vision d’ensemble, d’un sens de la direction artistique, d’une inventivité tout terrain, et surtout, une passion pour la musique et un goût pour le travail acharné. Autant de qualités et de besognes quotidiennes peu mises en avant en général, et encore moins lorsqu’il s’agit des femmes de l’industrie de la musique censée être la plus sexiste de l’univers – comme si dans le rock ou la variété française les directrices de label couraient les rues. C’est pourquoi notre merveilleuse rédactrice Ouafa Mamèche organise le 22 juin avec sa maison d’édition Faces Cachées, une conférence qui leur donnera la parole à partir de 17h à The Family 25 rue du Petit Musc, 75 004 Paris. Netta Margulies, attachée de presse indépendante dont le professionnalisme et la gentillesse ont permis de nombreuses interviews, notamment sur ce site ; Pauline Duarte, directrice de Def Jam France rien que ça et Daphné Weil, productrice et manageuse de longue date d’Ärsenik, reviendront sur la réalité de leur métier et les idées reçues qui vont avec. L’occasion d’entendre ces femmes peu visibilisées mais sans lesquelles notre musique préférée ne vivrait pas aussi bien – voire pas du tout. "La Famille du Dojo", le documentaire qui raconte la 75e Session "La Famille du Dojo", le documentaire qui raconte la 75e Session

derrière chaque grand homme se cache une femme